Tout dire?

Longtemps j’ai écris mais sans ne rien pouvoir publier. Est-ce que ca pouvait être dit, est-ce que je pouvais le dire, m’y inscrire virtuellement,  y associer mon peusdo dont j’use et abuse?
Est-ce que ce pans de ma vie, répréhensible pour le commun des mortels, tout naturel pour l’ensemble de mes connaissances je voulais réellement le dévoiler, le détailler dans ce blog?
La réponse est venue d’elle même, après quelques ébauches d’articles jamais terminées.
Je voulais écrire dessus, y trouver une échappatoire, me remémorer ces moments chéris, partager la chance que j’avais eu de vivre ça, je n’avais envie de ne parler que de ca, exclusivement de ça. En sachant au fond de moi qu’il n’était pas possible de le faire. Tout comme il n’est pas permis de faire ce qui me fait si plaisir. La morale, ma morale me dicterait-elle implicitement que je ne peux pas m’autoriser à m’inscrire publiquement? Car c’est ce que j’aurais fais en publiant ce type d’article.
Donc non, je ne les publierais pas, mais pour relancer le processus créatif de l’écriture j’avais besoin de tourner la page de comprendre par moi même pourquoi il y avait un  blocage.
J’ai maintenant un autre sujet de prédilection que ma morale ne réprime pas, un bébé qui grandit petit à petit dans ma tête et mon corps 😉